Le dispositif expérimental décrit dans le document implique l'utilisation d'une femelle macaque qui a subi une ovariectomie. Cette étape est cruciale pour :

• Étudier l'effet direct des hormones produites par les ovaires.
• Éliminer la production endogène d'hormones ovariennes.
• Faciliter la mesure du taux de LH.
• Observer le cycle menstruel normal.

L'injection d'hormones ovariennes radioactives permet de :

• Stimuler la production de LH par l'hypophyse.
• Suivre le trajet et la fixation de ces hormones dans l'organisme.
• Mesurer directement le taux d'œstrogènes et de progestérone produits par l'hypophyse.
• Observer l'effet de ces hormones sur le comportement de la femelle macaque.

L'observation de la diminution du taux de LH après l'injection d'hormones ovariennes radioactives suggère que ces hormones exercent un rétrocontrôle :

• Positif sur l'hypothalamus.
• Négatif sur l'hypophyse.
• Positif sur l'hypophyse.
• Négatif sur les ovaires.

Parmi les affirmations suivantes basées sur le document, lesquelles sont correctes :

• L'hypophyse est une glande endocrine.
• La LH agit directement sur l'utérus.
• Les hormones ovariennes peuvent influencer l'activité de l'hypophyse.
• Le corps jaune est responsable de la production de LH.

Si on avait injecté à cette femelle macaque une substance bloquant les récepteurs aux hormones ovariennes au niveau de l'hypophyse, on aurait probablement observé après l'injection d'hormones radioactives :

• Une diminution encore plus importante du taux de LH.
• Une augmentation du taux de LH.
• Un maintien du taux de LH à son niveau initial élevé.
• Une disparition totale de la LH dans le plasma.